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17/11/2025

Private Equity : les enjeux 2026 sous l’angle de la digitalisation

2026 s’annonce comme une année charnière pour l’industrie du private equity.

Après deux exercices marqués par la contrainte de liquidité, l’exigence réglementaire et la pression opérationnelle, les sociétés de gestion entrent dans une phase où la digitalisation n’est plus un avantage compétitif — c’est un prérequis pour continuer à lever, distribuer et performer.


Voici les dynamiques clés à anticiper.


1. Restaurer la liquidité : priorité absolue, dépendante de la donnée

La sortie de deals ralentit, les distributions aussi. En 2026, les GPs doivent rendre plus lisible et plus prédictible leur gestion, afin de restaurer la confiance des investisseurs.
La digitalisation devient un levier direct : mise à jour instantanée des positions, visibilité consolidée sur l’exposition globale, scénarios et prévisions appuyés sur des données vérifiées.
Plusieurs études montrent que le problème de liquidité reste central pour le secteur depuis un an maintenant > voir étude Deloitte "Unlocking a potential US$3.8 trillion opportunity for private equity firms".


2. L’intermédiation s’impose comme un maillon stratégique

Le rôle des distributeurs se renforce, en particulier auprès des investisseurs privés. En 2026, les sociétés de gestion doivent :

  • offrir une expérience fluide à leurs réseaux

  • sécuriser les parcours de souscription

  • éviter les frictions KYC / conformité

  • assurer une traçabilité totale des échanges


La digitalisation de la chaîne intermédiation/distribution devient un levier de différenciation.


Pour aller plus loin, l’interview d’Ariane Doutey éclaire la manière dont InvestHub soutient et fiabilise la transformation digitale d’Entrepreneur Invest


3. Le KYC/AML devient un champ de risque — et de différenciation

Les autorités renforcent leurs attentes, les volumes augmentent, les réseaux commerciaux s’étendent. En 2026, les fonds devront :

  • automatiser les contrôles

  • centraliser les preuves

  • tracer les révisions et validations

  • s’intégrer nativement avec les solutions de screening


Retrouvez l'article de PWC qui rappelle que la digitalisation ne se limite plus aux processus front-office et transforme aussi en profondeur les pratiques de conformité.


4. Le coût opérationnel doit baisser sans sacrifier l’ambition

L’équation 2026 : plus de fonds, plus d’investisseurs, plus de conformité… avec des équipes qui ne doublent pas.
La digitalisation devient un multiplicateur d’efficacité : workflows no-code, appels de fonds automatisés, gestion documentaire centralisée, portails unifiés. Les sociétés de gestion qui n’automatisent pas verront leur marge se réduire mécaniquement.


5. La technologique devient intenable

Entre CRM, outils maison, plateformes historiques, reportings Excel, extranets divers… l’empilement atteint ses limites.
2026 sera l’année de la rationalisation des architectures : intégrations natives, API standardisées, identité numérique unifiée, données cohérentes entre Sales, IR, Middle/Back Office.


La rationalisation technologique est déjà identifiée comme un enjeu clé, cf article de PWC cité en point #3.


6. L’expérience investisseurs monte clairement en gamme

Les investisseurs privés exigent le même niveau d’ergonomie que la banque en ligne ou la fintech retail. Les institutionnels attendent une qualité de données immédiate et vérifiable.
En 2026 cela signifie : portails modernes, personnalisables, accès en temps réel aux documents, appels de fonds, distributions, reporting.


Les fonds qui engagent cette modernisation renforcent clairement leur attractivité et créent un terrain plus favorable pour leurs futures levées.


7. Les équipes internes veulent des outils simples, robustes, fiables

La guerre des talents s’intensifie. Les équipes veulent moins de bricolage, moins de fichiers partagés, moins de dépendance aux développements ad hoc.

La digitalisation joue un rôle culturel : moins de tâches répétitives, processus clairs et traçables, plus de temps pour l’analyse et la relation investisseurs. Un outil structuré devient un facteur de rétention.


2026, l’année où la digitalisation devient l’infrastructure du private equity

Le secteur avance vers un modèle où :

  • l’intermédiation est pilotée de bout en bout

  • l’expérience investisseurs est un levier de levée

  • la donnée sert la liquidité

  • l’efficacité opérationnelle est non négociable

  • les plateformes deviennent des standards

  • la conformité se gère en continu


La transformation digitale n’est plus un projet.
Elle devient la base opérationnelle qui permet aux sociétés de gestion de rester performantes en période de tension comme en phase de croissance.


Dans cet environnement, InvestHub s’aligne précisément sur ces attentes : une plateforme unique, modulaire et interopérable qui structure l’intermédiation, fluidifie la relation investisseurs et renforce la maîtrise opérationnelle.


Un socle digital pensé pour accompagner durablement l’évolution du private equity.

2026 s’annonce comme une année charnière pour l’industrie du private equity.

Après deux exercices marqués par la contrainte de liquidité, l’exigence réglementaire et la pression opérationnelle, les sociétés de gestion entrent dans une phase où la digitalisation n’est plus un avantage compétitif — c’est un prérequis pour continuer à lever, distribuer et performer.


Voici les dynamiques clés à anticiper.


1. Restaurer la liquidité : priorité absolue, dépendante de la donnée

La sortie de deals ralentit, les distributions aussi. En 2026, les GPs doivent rendre plus lisible et plus prédictible leur gestion, afin de restaurer la confiance des investisseurs.
La digitalisation devient un levier direct : mise à jour instantanée des positions, visibilité consolidée sur l’exposition globale, scénarios et prévisions appuyés sur des données vérifiées.
Plusieurs études montrent que le problème de liquidité reste central pour le secteur depuis un an maintenant > voir étude Deloitte "Unlocking a potential US$3.8 trillion opportunity for private equity firms".


2. L’intermédiation s’impose comme un maillon stratégique

Le rôle des distributeurs se renforce, en particulier auprès des investisseurs privés. En 2026, les sociétés de gestion doivent :

  • offrir une expérience fluide à leurs réseaux

  • sécuriser les parcours de souscription

  • éviter les frictions KYC / conformité

  • assurer une traçabilité totale des échanges


La digitalisation de la chaîne intermédiation/distribution devient un levier de différenciation.


Pour aller plus loin, l’interview d’Ariane Doutey éclaire la manière dont InvestHub soutient et fiabilise la transformation digitale d’Entrepreneur Invest


3. Le KYC/AML devient un champ de risque — et de différenciation

Les autorités renforcent leurs attentes, les volumes augmentent, les réseaux commerciaux s’étendent. En 2026, les fonds devront :

  • automatiser les contrôles

  • centraliser les preuves

  • tracer les révisions et validations

  • s’intégrer nativement avec les solutions de screening


Retrouvez l'article de PWC qui rappelle que la digitalisation ne se limite plus aux processus front-office et transforme aussi en profondeur les pratiques de conformité.


4. Le coût opérationnel doit baisser sans sacrifier l’ambition

L’équation 2026 : plus de fonds, plus d’investisseurs, plus de conformité… avec des équipes qui ne doublent pas.
La digitalisation devient un multiplicateur d’efficacité : workflows no-code, appels de fonds automatisés, gestion documentaire centralisée, portails unifiés. Les sociétés de gestion qui n’automatisent pas verront leur marge se réduire mécaniquement.


5. La technologique devient intenable

Entre CRM, outils maison, plateformes historiques, reportings Excel, extranets divers… l’empilement atteint ses limites.
2026 sera l’année de la rationalisation des architectures : intégrations natives, API standardisées, identité numérique unifiée, données cohérentes entre Sales, IR, Middle/Back Office.


La rationalisation technologique est déjà identifiée comme un enjeu clé, cf article de PWC cité en point #3.


6. L’expérience investisseurs monte clairement en gamme

Les investisseurs privés exigent le même niveau d’ergonomie que la banque en ligne ou la fintech retail. Les institutionnels attendent une qualité de données immédiate et vérifiable.
En 2026 cela signifie : portails modernes, personnalisables, accès en temps réel aux documents, appels de fonds, distributions, reporting.


Les fonds qui engagent cette modernisation renforcent clairement leur attractivité et créent un terrain plus favorable pour leurs futures levées.


7. Les équipes internes veulent des outils simples, robustes, fiables

La guerre des talents s’intensifie. Les équipes veulent moins de bricolage, moins de fichiers partagés, moins de dépendance aux développements ad hoc.

La digitalisation joue un rôle culturel : moins de tâches répétitives, processus clairs et traçables, plus de temps pour l’analyse et la relation investisseurs. Un outil structuré devient un facteur de rétention.


2026, l’année où la digitalisation devient l’infrastructure du private equity

Le secteur avance vers un modèle où :

  • l’intermédiation est pilotée de bout en bout

  • l’expérience investisseurs est un levier de levée

  • la donnée sert la liquidité

  • l’efficacité opérationnelle est non négociable

  • les plateformes deviennent des standards

  • la conformité se gère en continu


La transformation digitale n’est plus un projet.
Elle devient la base opérationnelle qui permet aux sociétés de gestion de rester performantes en période de tension comme en phase de croissance.


Dans cet environnement, InvestHub s’aligne précisément sur ces attentes : une plateforme unique, modulaire et interopérable qui structure l’intermédiation, fluidifie la relation investisseurs et renforce la maîtrise opérationnelle.


Un socle digital pensé pour accompagner durablement l’évolution du private equity.